30 Septembre 2014
Chant royal -cinq onzains et 1 quintil en décasyllabes
Pour vivre gai
Il est ma vie à se trouver lucide
Pour vivre paix, dans un pays heureux
Où bonne gens ne soient jamais cupides
De bonne foi menons le rigoureux
Quand sage vouloir doit être armature
Débarrassé de toutes les aventures
Nous trouverons le meilleur grand profit
D'une santé de l'art toujours promis
Quand une voix édicte consigne
Je vous promets le plus de l'inédit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Comment poser un gage fort limpide
Si les chemins mènent au malheureux
D'un long transport d'un voyage morbide
Il vous surprend d'un ton aventureux
Vous ne pouvez sortir de ces bordures
Quand dans l'ailleurs se meurent les boutures
Où vils dangers précis vous sont servis
Et leurs discours fourbis sont leur maudit
Se veulent-ils être ce fourbe indigne
Le vrai voulons quand nos pas ont souci
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Où sont les fruits qu'on ne songe au perfide
Cueillir voulons et profiter du généreux
Notre dur travail doit être doux subside
Sans devoir fou tuer le spécieux
De la bonté qu'offre juste droiture
Fraternité tu n'est une imposture
Mais cette clef qui enferme l'ennui
Loin des tourments qui bercent nos envies
Nous sommes prêts que l'on nous assigne
De prendre part à l'ouvrage du profit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Dépossédés du jamais impavide
L'impôt dément par trop infructueux
Nous ne voulons comme un artifice
Trop dangereux pour un moral hargneux
Là il défend l antre des morsures
Faites au grand tord de leurs folles blessure
Tout est caché pour vaincre nos mots dits
Dans le conscient de notre esprit soumis
Dont le mental dans la douleur s'indigne
Son grand désir retrouver signe chéri
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Je me voudrai que doux l'on égratigne
Le mauvais goût des politiques véreux
Marchant droit dans notre grande guigne
Que leur égo voit sain d'un air pompeux
Ils n'ont tracas de leur mandat de parjure
Pour le tout faux dire sans déchirures
Quand le bon oui fait défaut comme délit
Alors il leur faut rejeter leur phobie
Et nous offrir le bon de leurs consignes
Notre moral doit y trouver crédit
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
Cher Président quel est prix de ma vie
Je me réjouis que malheur soit sursis
Avant que survie me soit frayeur bénigne
Je me voudrai sortir de ce déni
Pour vivre gai de la joie d'un bonheur digne
☼ŦC