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Poesie-classique

Poésie classique écrite selon l'inspiration des jours qui passent

Pour vivre gai

Pour vivre gai

Chant royal -cinq onzains et 1 quintil  en décasyllabes

 

 

Pour vivre gai

 

 

 

 Il est ma vie à se trouver lucide

Pour vivre paix, dans un pays heureux

Où bonne gens ne soient jamais cupides

De bonne foi menons le rigoureux

Quand  sage vouloir doit être armature

Débarrassé de toutes les aventures

Nous trouverons le meilleur grand profit

D'une santé de l'art toujours promis

Quand une voix édicte consigne

Je vous promets le plus de l'inédit

Pour vivre gai de la  joie d'un  bonheur digne

 

Comment poser un gage fort limpide

Si les chemins mènent au malheureux

D'un long transport d'un voyage morbide

Il vous surprend d'un ton aventureux

Vous ne pouvez sortir de ces bordures

Quand dans l'ailleurs se meurent les boutures

Où vils dangers précis vous sont servis

Et leurs discours fourbis sont leur maudit

Se veulent-ils être ce  fourbe indigne

Le vrai voulons  quand nos pas  ont souci

Pour vivre gai de la  joie d'un  bonheur digne

 

Où sont les fruits qu'on ne songe au perfide

Cueillir voulons et profiter du généreux

Notre dur travail doit être doux subside

Sans devoir fou tuer  le spécieux

De la bonté qu'offre juste droiture

Fraternité tu n'est une imposture

Mais cette clef qui enferme l'ennui

Loin des tourments qui bercent nos envies

Nous sommes prêts que l'on nous assigne

De prendre part  à l'ouvrage du profit

Pour vivre gai de la  joie d'un  bonheur digne

 

 

Dépossédés du  jamais impavide

L'impôt dément par trop infructueux

Nous ne voulons comme un artifice

Trop dangereux pour un moral hargneux

Là il défend l antre des morsures

Faites au grand tord de leurs folles blessure

Tout est caché pour vaincre nos mots dits

Dans le conscient de notre esprit soumis

Dont le mental dans la douleur s'indigne

Son grand désir  retrouver signe chéri

Pour vivre gai de la joie d'un  bonheur digne

 

 

Je me voudrai  que doux l'on égratigne

Le mauvais goût des politiques véreux

 Marchant droit dans notre grande guigne

Que leur  égo voit sain d'un air pompeux

Ils n'ont tracas de leur mandat de parjure

Pour le tout faux dire sans déchirures

Quand le bon oui  fait défaut comme délit

Alors il leur faut rejeter leur phobie

Et nous offrir  le bon de leurs consignes

Notre moral doit y  trouver crédit

Pour vivre gai de la  joie d'un  bonheur digne

 

Cher Président quel est prix de ma vie

Je me réjouis que malheur soit sursis

Avant que survie me soit frayeur bénigne

Je me voudrai  sortir de ce  déni

Pour vivre gai de la  joie d'un bonheur digne

☼ŦC

 

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