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Poesie-classique

Poésie classique écrite selon l'inspiration des jours qui passent

Comme ces acquis conquis par nos parents

Comme ces acquis conquis par nos parents

Chant royal

Forme = ABABCCDDEDE1-ABABCCDDEDE1- ABABCCDDEDE1- ABABCCDDEDE1- ABABCCDDEDE1- (DDEDE1

 

Comme ces acquis conquis par nos parents

 

Cher  Monsieur Président des français

Je veux m’oser  vous héler hors ma  gêne

Quand fut  hier mon vote je donnais

Je désirais  que mot ne me gangrène

A me vouloir asseoir tout mon espoir

Dans le discours  de votre grand vouloir

M’éviter  un demain anémique

Sachez ne suis  être symptomatique

Il est certain  ne veut être dément

Si tout demain   nous était un  délice

Comme ces   acquis conquis par nos parents

 

Participer dans l’égalité voulais

Travailler pour la contrepartie

Le capital le travail J’associais

Pour nous offrir d’un égal pour partie

En évitant que le grand défouloir

Au chaque jour nous  plie sous l’assommoir

Du grand dictat du patron lunatique

Toujours pressé du profit énergique

Où causes sont toujours son grand tourment

L’humain est lourd  un mal  pour son caprice

Comme ces   acquis conquis par nos parents

 

Faute voilà que tu me dévoilais

Au bon patron  qu’est-ce cette folie

Jamais ne puis au  toujours,  je forçais

D’être meilleur pour qu’effort se candie

En ce bon fruit  dans mon travail au soir

Pour profiter de ces gains à nous seoir

Ma faute n’est  que fou emblématique

De cette loi où son format atypique

Vous laisse là subordonné cément

Qui veut recours désolant  son  supplice

Comme ces   acquis conquis par nos parents

 

Comment savoir  ce tout dont tu voudrais

M’emprisonner dépourvu d’homélie

Pour m’obliger, ce que je connaissais

Travailler  au jour et nuit sans envie

Pour retrouver dans mon bonsoir pouvoir

Vivre les joies d’enfants au soir

Vie de douceur de  bonheur civique

Que nous offre  cet actif temps cynique

Ô Donnez nous, laissez nous tout ce temps

Pour reposer douleur du sacrifice

Comme ces   acquis conquis par nos parents

 

Légiférez ! Hier  je le pensais

Le mal pour eux n’est que cette utopie

Gardez-vous la, il est je vous connais

Vos grands profits  d’opulence aboutie

Seront pour nous débarrassé d’espoir

Car vous vaincrez notre obligé devoir

Capitulons !  Nous serons amnésiques

A tout choix pour notre vie ludique

Tous au travail, travail comme dément

Nous reprendrons  congés à l’édifice

Comme ces   acquis conquis par nos parents

 

Je ne pourrai faire supplique

Car votre droit  n’a jamais de réplique

Seul au demain j’enfourcherai le temps

Pour batailler en  essaim endémique

Comme ces   acquis conquis par nos parents

☼ŦC

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