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Poesie-classique

Poésie classique écrite selon l'inspiration des jours qui passent

Deux renatds , deux pouyles

Deux renatds , deux pouyles

 Deux renards, deux poules

 

 

Il fut ce  jour d’élection où  deux  renards

Se battirent en leur contrée comme forcené

Leur dessein,   devenir  souverain en son  empire

L’un voulait seul pouvoir régner sans devoir  sourire

L’autre désirait s’approprier toutes proies aisées

La bataille fit rage dans l’empreinte des regards

De beaucoup informées  d’une telle menace

Certains prirent   peur de n’être en accord avec l’autre

Envisagèrent de s’expatrier loin de leur docile    gite

Mais là-bas que trouveraient-ils comme bon rite

Qui leur soit  compatible  pour  qu’ils ne se vautrent

Dans une délation dont  un jour l’on vous chasse

Au loin là-bas deux poules tinrent conversation

  • L’une disait :- As-tu entendu que sans  considération
  •  deux renards par trop malveillants s’affrontent

Cela va mal finir et j’ai peur que nous subissions

Nous les moins fortunés des bonnes solutions

Que  dame nature a put nous offrir  et que l’on surmonte

Comment pourrions-nous vivre leurs exactions

Dame poule rouge   acquiesça :

Dites-moi me voilà fort  intriguée par la  nouvelle

Pour sûr Ces deux despotes  vont nous apporter désordre

En notre basse cour et nous  serons les plus malheureux

Nous risquons de les voir détruire   nos vies, nos demeures

Nous n’avons rien à leur mander, pour qu’ils aient à nous mordre

Oh non certes pas qu’ils restent en leur endroit pour le temps éternel

Dame poule blanche continua :

 -Pour sûr le perdant de la partie, ne pourra plus parader demain

Devra fuir avec tous ceux qui n’auront fait allégeance à l’autre

Et nous les verrons venir nous piller, nous voler, nous tuer

Car loin de leurs tanières,  ils ne pourront plus survivre apaisé

Et il leurs sera temps  de  commettre en notre endroit  fautes

Trop peu  fortuné pour posséder défense  comment se protéger certain

Dame poule blanche renchérit :

  • Mais ma chère amie nous les si petit nous allons devoir subir

D’élection nous ne sommes pas de leur empire pour se faire

Fut-il que cela soit, leur faim de pouvoir  toujours nous engloutira

Leur monde n’est pas le notre, entre eux, être au premier rang faudra

Pour qu’ils puissent au mieux gouverner et  notre pauvreté  refaire

Quand de  richesse il ne vous offre que labeur  à les enrichir

Bonne gens méfiez vous de ces combats de chefs

Leurs seuls objectifs  n’est que de vous asservir

Il ne s’engage jamais à parfaire votre bonheur

Mais de  faire fructifier la richesse de leur honneur

De leurs amis, de tous ceux qui de proue peut les enrichir

Ne vous laisser pas berner vous seriez à vous en faire grief

Quand  sera venue  l’heure de compter  vos  malheureux

Lui sera sur son piédestal à  égorger votre avenir, votre destin

ƒC

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