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Poesie-classique

Poésie classique écrite selon l'inspiration des jours qui passent

Ode aux gootnaleurs

Ode aux gootnaleurs

 

 

Ode aux footballeurs

 

Dans l’arène les mercenaires sont prêts

Les applaudit la haut une foule Hardie

Elle attend l’exploit qui leur est mandé

Pour réveiller leur  main forte abonnie

Le gardien en  souplesse de chats

Dénude  envol qui l’exultera    

 

Leurs cages est un grand    gouffre rusé

Où nul  ne peut  tomber sans que se crie

La joie d’un groupe  rêvant beau  succès

Mais pour eux les défenseurs se lient

Leurs tacles terrorisent les audacieux ninjas

Dont le but est, les affoler sans débat

 

Dans leur contre attaques tant empressés

Les douées  perles du beau jeu  se fient

Au dribble par ci, milieu dépassé

Un autre  là ; défense anéantie

Un petit pont,  le ballon se va là bas

D’un  gardien sans reflexe devant cela

 

L’arbitre a sifflé, faute magistrale

Pénalty, dans une transe infernale

Les joueurs, la foule sont dans l’émoi

Contre pied, pauvre gardien sans voix

Un orage de cris   monte vers le  ciel

Pour acclamer ses gladiateurs éternels

©ƒC

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