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Poesie-classique

Poésie classique écrite selon l'inspiration des jours qui passent

Ti éclzaires mon ciel

Ti éclzaires mon ciel


 

 

 

texte libre poetique 

Tu éclaires mon ciel

 

 

Là j’allais, où,  je ne savais, mes pas silencieux avançaient  vers l’infini d’un soupçon d’amour.

Oui j’allais mais j’étais oublié dans la folie d’un triste échec. A u fil du temps j’avais  eu à me demander comment notre  nœud amoureux avait pu se délier,  tant bien  même nous l’avions ensemble serrer  du plus fort i que notre passion,  nous en avait aidé  afin de ne  plus  jamais avoir à le desserrer. 

Je surprenais   les nuages du regret  fondre en larmes sur ma solitude, que pouvais-je y faire ? Nous étions désormais loin l’un de l’autre.  Tout autant  la distance rebondissait comme des ondes sur l’ampleur, la grande ampleur de mes indéniables regrets. Eussé-je  à me demander : Qu’ais-je fais qui soit  contraire à ma bonté, à ma générosité, à ma gentillesse, à ma tendresse, à ma  flamme envers celle que j’aime éperdument

Devant mes yeux se dessinait un océan d’incompréhensions et  je  reconstituais, une à un e, toutes  les images qui avaient construit le film, le long film de nos accords, de nos échanges,  detous ces mots délicieux que nous avions  échangés, J’avais beau puiser au plus profond de ma mémoire endolorie,  je ne pouvais  remonter à sa surface, qu’un rien qui  ne fut soit-il une poussière négative. De discordance  Il en était  de même de nos si beaux accords, non; rien n'aurait pu  gâcher notre fusion,  alors pourquoi ?

En ces instants  violents, Je ne percevais plus que la brume de la désolation qui me cernait,  qui  m’envahissait, m’absorbait t. Celle-ci m’aveuglait, ne me laissant discerner que mile frayeurs  qui défigurait  mon chemin, je tremblais  d’incertitude, d’ingratitude, me laissant sans mansuétude. Alors trop  démuni  de volonté je m’assis là, nulle part, recroquevillé dans ma folie. Pourquoi ne pouvais-je plus être aimé? Mon cœur battait, battait à vouloir arrêter  ses trop forts martellements qui cognaient contre  ma poitrine comme clocher sonnant  le tocsin. Dans un dernier sursaut j’entendis ma voix lui dire et lui redire, crier : - Je t’aime.

Une longue  très longue attente   me laissa dans la noirceur du temps, j’étais seul  devant ce temps d’incertitude, comment ferais –je pour revivre?  Mon amour était ancré à tout jamais,  au port de la douceur de sa passion  et au grand jamais je ne pourrai lever l’ancre.

 Une brise, une douce brise me tendit sa voix,   je me mis à sourire  car je savais que malgré toute cette désolation, tout ce désespoir, qu’un jour elle me  reviendra t.

Aussi il fut que soudain au là bas  du loin de  l’horizon du bonheur …Etait-ce un mirage….  Je perçus et  vis s’avancer avec grande élégance une céleste  silhouette  que je n’eus  peine   à identifier, à reconnaître  et je courus comme un exalté fanatique vers cette irréalité troublante   .  À peine fussé-je à ces cotés  que je ne lui laissais temps de m’offrir un premier, un suave baiser  que mes lèvres eurent à lui exprimer  nul autre mot  que ces : - Mon amour tu éclaires mon ciel.

©ƒC

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